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LYON 1952


Le 14 juin 1952, la banlieue ouest de Lyon a vécu un scénario digne de Mars Attacks. Cette journée est d'ailleurs entrée dans les annales de l'ufologie nationale et depuis, l'ouest lyonnais a été le théâtre de nombreuses observations d'ovnis.

En 1952, on ne parle pas encore d'objet volant non identifié mais plutôt de MOC, pour Mystérieux objet céleste, ou encore de soucoupes volantes. C'est ce qu'ont vu Mme C. et sa bonne ce 14 juin 1952 depuis leur domicile de Ste-Foy-lès-Lyon, en pleine zone urbaine, à 5 km seulement du centre de Lyon : une soucoupe volante de 70 mètres de diamètre ! En cet après-midi tranquille de juin, elles observent l'ovni depuis leur villa située sur le boulevard de Narcel, à proximité du château de Bramafan. Elles racontent : "L'immense engin était là. Il se déplaçait à une altitude d'environ 300 mètres. Il ressemblait à deux assiettes renversées l'une contre l'autre. Le temps d'aller chercher des jumelles, il disparaît. Les secondes passent, et voilà l'engin mystérieux qui revient, depuis Bron. Il est accompagné d'un second engin identique, venant lui de Montluel. Il est 14h30. les deux appareils se livrent alors à une sorte de ballet aérien. Renversements, chutes en feuilles mortes, virages à angle droit, les deux appareils évoluent dans un parfait silence. A un moment, une sorte de rayon de lumière semble projeté vers nous. Nous sommes prises de panique et rentrons dans la villa". La soucoupe repart dans une odeur de soufre Après quelques minutes, Mme C. et la bonne ressortent. A nouveau, elles voient quelque chose qu'elles n'identifient pas. Un seul objet se montre. Il semble arriver de la Mulatière. Arrivé au dessus du château de Bramafan, il se retourne et descend en direction du sol, lentement. Il se pose sur l'herbe. D'après les deux témoins, la soucoupe volante a un aspect métallique et parait neuve. En vol, une sorte de dôme était visible en partie supérieure. Lors de la descente, cette structure arrondie s'est retrouvée dessous, du fait du retournement complet de l'objet. Une espèce de cheminée est sortie du dôme. L'observation dure quelques minutes. Deux voitures freinent brutalement sur le boulevard. Les conducteurs ont aussi vu l'étrange engin au sol. La soucoupe s'élève alors, bascule à nouveau, et disparaît dans le ciel en quelques secondes, laissant sur place une odeur soufrée qui persistera quelques instants. Aucune trace ne sera retrouvée dans le pré à côté du château. Quarante-cinq ans après les faits, aucune explication n'a été trouvée et la "soucoupe volante de Ste-Foy-les-Lyon" figure parmi les cas à haute étrangeté.

Ce cas a même fait l'objet d'un livre intitulé "Les maîtres de l'espace", aujourd'hui introuvable, publié en 1973 par l'auteur lyonnais Henri Convert.Les "maîtres de l'espace" auraient ils décider de commencer leur conquête par l'ouest de l'agglomération ? On peut en effet se poser la question car les cas les plus extraordinaires ont été observés dans ce secteur. Comme celui du "bidule" vu en 1989 vers Vaugneray par une jeune publicitaire de 25 ans. En compagnie d'un ami, Catherine D. se trouve au début du mois de juillet dans sa voiture sur l'aire de repos "La Combe Fusil", située en bordure d'une route de campagne entre Vaguera et Yzeron, à l'ouest de Lyon. Il est aux alentours de minuit, la nuit est noire, le ciel sans nuage. La voiture est à l'arrêt, seul le poste de radio fonctionne. L'attention de Catherine est attirée par un bruit insolite venant du nord. "C'était comme une gros bourdonnement. On aurait dit un bruit de tracteur, mais plus sourd... sans résonance. Brusquement, j'ai vu apparaître comme deux phares, avec entre eux une barre centrale. Ils devaient faire deux mètres de diamètre, la barre centrale paraissait faire un mètre cinquante de long. Le tout n'était pas éblouissant, la luminosité était stable. L'objet avançait vers nous" raconte la jeune femme. Ce qui semble le plus frapper les deux témoins, c'est l'impression que le phénomène frôle le sol, se déplaçant au ras de la route et des champs. De crainte de se faire repérer, Catherine éteint le poste de radio au moment où l'objet passe au-dessus de leurs têtes. Le bruit semble provenir du dessous de la structure, l'onde sonore est grave et puissante. Puis l'objet s'éloigne en laissant apparaître un halo de lumière. Il s'éclipse derrière une colline. Catherine et son ami remontent alors dans leur voiture pour essayer de suivre l'ovni par la route. Peine perdue. Jamais ils ne le retrouveront. L'enquête de SOS Ovni sur ce cas durera un an. Ce n'était ni un avion, ni un hélicoptère, l'altitude étant trop basse. Un ULM ? Difficile à croire car ces engins ne volent jamais la nuit. Aucune explication n'a pu être avancée pour cette affaire qui a été classée parmi les rencontres rapprochées du 2e type.

Jun. 15, 1952 Magneville (France). Un homme travaillant dans une foret observe des objets circulaires ressemblants à des parachutes en descente. Près d'une douzaine de témoins pour ce cas. (France-Soir Jun. 18, 52) Oct. 15, 1952 19H10 Le Vigan (France). Date approximative. Des personnages avec des casques et masques sont aperçuent au travers des hublots éclairés d'un objet en forme de cigare d'un jaune éclatant posé au sol. Il mesure 30 mètres de long pour un diamètre de 6 mètres, les extrémités sont arrondies et une sorte de brouillard les englobe. (Quincy; Anatomy 62)

Oct. 27, 1952 02H03 Aéroport de Marignane (France). Le douanier Gabriel Gachignard observe un objet en forme de cigare atterrir brièvement sur le tarmac à quelques cent mètres de lui, l'objet produisait un faible son, il était de couleur foncé avec quatre hublots illuminés. L'engin décolla dans une gerbe d'étincelles lorsque le témoin de courir vers lui. (Challenge 6)

Nov. 21, 1952 Belle-Ile (France). Au lieu dit "La Butte" Mr. Gauci observa d'une sphère lumineuse à basse altitude, qui semblait danser, avec des couleurs changeantes de l'orange au blanc. Elle oscilla de gauche à droite puis décolla en direction du sud ouest. (Challenge 56)